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Description
Écrite par Louis Saia, Louise Roy et Michel Rivard, la pièce de théâtre Bachelor est un immense succès du répertoire québécois. Son personnage principal, l’attachante Dolorès, a été incarnée en 1979 par Pauline Martin puis par Sylvie Léonard en 2004. À présent, c’est Monika Pilon qui défend ce rôle plus grand que nature.
En plus de nous ramener à une époque où tout se disait, Bachelor nous permet de découvrir une femme inoubliable. Sans tabou, Dolorès se raconte tout en s’épilant les jambes. Elle décrit son travail d’étalagiste chez Eaton, ses amours passées, sa nouvelle flamme et, surtout, le piège dans lequel elle est enfermée depuis l’adolescence : plaire à tout prix et affronter la pression que subissent les femmes pour faire partie de certains standards de beauté imposés par une société patriarcale. Dans la première partie de la pièce, Dolorès apparaît d’abord légère, joyeuse et insouciante. Puis, elle s’endurcit peu à peu tandis qu’elle évoque une vie brisée par le poids des désillusions. Son sourire se fane et dévoile une souffrance à fleur de peau.
Puissante tragi-comédie mise en scène par Édith Cochrane, Bachelor n’a pas vieilli d’un poil!
Hier… aujourd’hui… même bataille.
Crédits
- Interprétation : Monika Pilon
- Auteurs : Louis Saia, Louise Roy et Michel Rivard
- Mise en scène : Édith Cochrane
- Une présentation de Productions Martin Leclerc
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Bachelor
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Bachelor
« Irrésistible et attachante.… Monika Pilon nous montre toute l’étendue de son talent…. dans cet état de déséquilibre, entre le rire et les larmes, la liberté et la solitude, le besoin de séduire et d’être aimée. »
« C’est vertigineux de voir à quel point on rigole pendant une heure.… et là tout d’un coup, le masque tombe, oui mais elle subit de la violence et elle nous raconte ça et là on rit pu pantoute pantoute…. c’est absolument réussi. » - PHILIPPE RENAUD, CULTURE CLUB
« La performance de la comédienne à la fin de la pièce était si époustouflante que le silence s’est installé dans la salle pendant un bon deux secondes, comme si le public retenait son souffle. » - LYNE SARRAZIN, SORTIR AU QUÉBEC
« Irrésistible et attachante.… Monika Pilon nous montre toute l’étendue de son talent…. dans cet état de déséquilibre, entre le rire et les larmes, la liberté et la solitude, le besoin de séduire et d’être aimée. »
« C’est vertigineux de voir à quel point on rigole pendant une heure.… et là tout d’un coup, le masque tombe, oui mais elle subit de la violence et elle nous raconte ça et là on rit pu pantoute pantoute…. c’est absolument réussi. » - PHILIPPE RENAUD, CULTURE CLUB
« La performance de la comédienne à la fin de la pièce était si époustouflante que le silence s’est installé dans la salle pendant un bon deux secondes, comme si le public retenait son souffle. » - LYNE SARRAZIN, SORTIR AU QUÉBEC
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Salle Octave-Crémazie
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- Adaptation pour la scène : Isabelle Hubert
- Mise en scène : Alan Lake et Frédérique Bradet
- Chorégraphies : Alan Lake
Synopsis de la pièce
Dans cette adaptation franchement contemporaine du mythe où une image vaut mille mots, l’idéaliste Orphée fera tout pour libérer l’envoûtante Eurydice des dictats de notre monde, alors que tous deux se verront confrontés à des manières distinctes de voir et vivre l’amour.
Comme dans la version 100 fois racontée, Orphée, inconsolable, défie toutes les conventions et fonce, tête baissée, dans le royaume des Enfers pour tenter de ramener sa bien-aimée Eurydice dans le monde des vivants.
« Va.
Regarde en avant.
Fonce.
N’hésite pas.
Ne te questionne pas.
Ne te retourne pas.
Sois plus fort que ta peur. »
Équipe de conception
Texte - Isabelle Hubert
Mise en scène - Frédérique Bradet et Alan Lake
Assistance à la mise en scène - Mélissa Bouchard
Chorégraphie - Alan Lake
Scénographie - Vano Hotton
Costumes - Danielle Boutin
Accessoires - Jeanne Lapierre
Éclairage - Keven Dubois
Musique - Antoine Berthiaume
Maquillage - Vanessa Cadrin
Conseillère aux mouvements - Ève Rousseau-Cyr
Danseuse apprentie - Rachel Amozigh
Dramaturge - Sasha Dion
Distribution
Charles Roberge, Eva Saida, Josiane Bernier, Gabriel Cloutier Tremblay, Victoria Côté, Geneviève Duong, Laurent Fecteau-Nadeau, Alan Lake, Odile-Amélie Peters, Harold Rhéaume, Esther Rousseau-Morin, Jo Trozzo-Mounet
En coproduction avec Alan Lake Factori(e). En collaboration avec La Rotonde.
- Mythologie
- Danse
- Amour
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Salle Louis-Fréchette
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- Recherche et entrevues : Anaïs Barbeau-Lavalette
- Conception narrative et mise en scène : Émile Proulx-Cloutier
- Assistance à la mise en scène : Charlotte Ménard
Créé par Anaïs Barbeau‑Lavalette et Émile Proulx‑Cloutier, Pas perdus | documentaires scéniques est un spectacle unique et bouleversant qui trace huit portraits d’individus remarquables; huit protagonistes, dont aucun n’est acteur, choisis pour leur vie singulière et la façon surprenante qu’ils et elles ont de se raconter. Entre ces personnes aux parcours très différents, une multitude de liens se tissent. Leurs voix, captées sur le vif, magnifiées par un traitement sonore enveloppant et doublées de leur présence sur scène, préservent toute la force et l’authenticité d’une parole spontanée qui ne se rejoue pas.
Avec Pas perdus | documentaires scéniques, les créateurs explorent notre rapport à la mémoire, à la transmission, au langage, à ce que l’on porte en soi et à la place qu’on laisse à la joie dans sa vie. Chaque documentaire scénique dresse le portrait d’une voix humaine dans toute son individualité et nous pousse à repenser le regard que l’on porte sur des individus, des milieux et des histoires. Une rencontre unique avec l’autre!
L’origine du titre
La « salle des pas perdus » est le nom traditionnellement donné à ce grand hall d’édifice où les solitudes s’entrecroisent dans l’attente d’un départ, d’une décision, d’une sentence. Au carrefour des destinées, cet entrelacement de petits documentaires vivants interrogera notre rapport intime et collectif à la mémoire, au langage, au deuil. Qu’avons-nous perdu en chemin? Qu’avons-nous pu sauver? Quelle route prendre à partir d’ici?
Équipe de création
- Scénographie : Julie Vallée-Léger
- Éclairages : Mathieu Roy
- Musique originale : Guido Del Fabbro
- Conception sonore : Ilyaa Ghafouri
- Accessoires : Dominique Coughlin
- Images et animation 2D : Marielle Dalpé
- Collaboration à la recherche et mise en mouvement : Yaëlle Azoulay
- Documentaire
- Histoires vraies
- Québec
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Pas perdus | documentaires scéniques
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Pas perdus | documentaires scéniques
"Il se dégage de cette production une volonté irrésistible de créer des liens solides entre le Québec contemporain et ses riches traditions."
« Je ressors vraiment comme si j’avais vu un documentaire. Il y a des moments extrêmement touchants. C’est intelligent. Je suis fasciné par la façon dont ils ont construit le récit. »
"Il se dégage de cette production une volonté irrésistible de créer des liens solides entre le Québec contemporain et ses riches traditions."
« Je ressors vraiment comme si j’avais vu un documentaire. Il y a des moments extrêmement touchants. C’est intelligent. Je suis fasciné par la façon dont ils ont construit le récit. »
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Montréal, 1944. Partout, on interdit. Dans la métropole, on permet.
La ville animée, qui a échappé à la prohibition, a des allures de Las Vegas. Le jeu, les femmes, l’alcool : toutes les envies peuvent être assouvies! C’est l’âge d’or des cabarets et du nightlife enfumé très profitable pour l’économie. Montréal est romantique, sensuelle et irrésistiblement corrompue.
Lorsque l’envoûtante et comique Lili St-Cyr (Marie-Pier Labrecque) s’impose sur la marquise du Théâtre Gayety, elle bouscule les projets de Sophie (Lunou Zucchini) qui rêve que son fiancé et gérant de la salle Thomas (Maxime Denommée) lui donne sa chance. La vie de Jessie (Kathleen Fortin), première femme élue à la Ville de Montréal qui combat le vice en échange de votes, est aussi chamboulée. Devant la flamboyance et l’aplomb de Lili, tous se questionnent, apprennent, flanchent.
Nue, un verre de whisky à la main, couverte de bulles dans son bain transparent pour son nouveau numéro, Lili St-Cyr dérange. Elle prône sa propre liberté de choisir sa vie professionnelle comme elle l’entend. Si Lili provoque d’abord Jessie et Sophie, celles-ci apprendront d’elle la force de conviction : oui, les femmes peuvent avoir le contrôle.
« Les prestations de Lili n’avaient rien à voir avec le côté très pop et très cru d’aujourd’hui. […] Elle avait un côté intouchable. » - Marie-Pier Labrecque, interprète de Lili St-Cyr, en entrevue avec La Tribune
- Théâtre
- Musique
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Lili St-Cyr
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Lili St-Cyr
« La clef de ce succès : l’originalité et la singularité de l’histoire, la qualité des chansons et de la musiques, une distribution qui fait mouche, des interprétations sassurées et une mise en scène inventive de Benoît Landru, vraiment réussie, où rien de dépasse. »
« Le jeu des acteurs est un impressionant équilibre de voix puissantes et d’émotions incarnées. »
« La clef de ce succès : l’originalité et la singularité de l’histoire, la qualité des chansons et de la musiques, une distribution qui fait mouche, des interprétations sassurées et une mise en scène inventive de Benoît Landru, vraiment réussie, où rien de dépasse. »
« Le jeu des acteurs est un impressionant équilibre de voix puissantes et d’émotions incarnées. »