Barka - Crédit Ivan Arturo Escobar

Salle Louis-Fréchette

27 avril 2025
20h00

prix

Taxes et frais de services inclus
Régulier
à partir de 45,00 $
Étudiant
Sur présentation de la carte étudiante
Sur présentation de la carte étudiante
25,00 $
Autre
12 ans et moins
12 ans et moins
15,00 $

Description

Mis sur pieds par les créateurs du Gypsy Kumbia Orchestra, Barka est un spectacle où se rencontrent les arts du cirque, la danse et la musique dans un extraordinaire chaos festif qui célèbre la vie et appelle l'espoir et la liberté.

Alors que les artistes de cirque assurent des numéros précis de jonglerie et de la contorsion puis des prouesses sur la roue cyr, la corde lisse et le mât chinois, l'interaction permanente avec les musiciens ajoute au sentiment permanent de risque et d'équilibre précaire. Cet événement est une explosion de talents, de plaisir et d’imagination!

  • Une présentation du Grand Théâtre de Québec

Mise en contexte

Nous nous trouvons tous dans un bateau. Explorateurs, migrants ou survivants, peu importe, nous sommes partis. Le voyage a commencé, chacun d'entre nous est à la recherche de son rêve. Mais nous flottons tous ensemble alors qu'une grosse tempête pointe à l'horizon.

Aussi, tout au long du spectacle, on goute l’Amérique Latine et, particulièrement, à la cumbia qui sert de base rythmique pour accompagner les mélodies qui façonnent la trame sonore de l'épopée.

La cumbia est également présente en tant que langage chorégraphique qui inspire le mouvement collectif des artistes sur scène. Jupes et tambours, cuivres et maracas se côtoient, donnant une couleur particulière à l'œuvre, la rendant festive et invitant au plaisir de la danse.


À propos de Productions Girovago

Avec Barka, Girovago concrétise sa vision artistique dans laquelle les frontières de la musique, de la danse et du cirque sont rompues. La compagnie s’insère ainsi dans paysage des arts de la scène avec 21 représentations au Grand Chapiteau de la Tohu à l’été 2022.

Girovago est reconnu pour la création et la direction du Gypsy Kumbia Orchestra (GKO), ainsi que pour sa collaboration à une multitude d'autres projets tels le film FAIT VIVIR, la chanson et vidéo EL GRITO, Le Take Out Lab, le Studio D 325 et le Bal Dansant en Famille.

Faisant partie d’un mouvement « cumbiero » international, l’orchestre fusionne les rythmes et percussions caribéens colombiens avec des influences de partout dans le monde et les rassemble dans un chaos créatif qui fait rêver et danser les gens. GKO compte deux albums nominés à l’ADISQ et au JUNO, des vidéoclips exceptionnels et plus de 500 concerts à travers le Québec, le Canada, Colombie, la France, la République Tchèque et l’Autriche. Le groupe est devenu en quelques années un incontournable de la scène indépendante montréalaise, comme l'ont montré les soirées mensuelles à guichet fermé à La Sala Rossa entre 2013 et 2018.


CRÉDITS

Producteur : Productions Girovago

Mise en scène : Patrick Léonard (Les 7 Doigts de la Main) et Ricard Soler Mallol

Direction musicale : Aurélien Tomasi et Anit Ghosh

Conception chorégraphique : Carmen Ruiz, Sonia Bustos

Musique originale : Gypsy Kumbia Orchestra

Avec Juan Sebastian Mejia (voix, percussions), Carmen Ruiz (danse), Brittany Gee (roue Cyr, corde lisse), Alexie Maheu (mât chinois, contorsion), Nathan Biggs-Penton- David Menes (jonglerie), Anit Ghosh (violon, guitares, voix), Aurélien Tomasi (clarinette, saxophone), Chantal Urbain (accordéon, voix), Ivan Bamford (percussion), Blanche Moisan-Méthé (tuba) et Bertrand Margelidon (trompette, voix).

Créé avec le soutien du Conseil des Arts de Canada et La Tohu et Cambios, ainsi que le soutien dans les étapes de recherche du Conseil des Arts et des Lettres de Québec, Le Conseil des Arts de Montréal, Le Théâtre Aux Écuries, Le Théâtre Le Paradox et le MAI, Montréal Arts Interculturels.

  • Cirque
  • Danse
  • Musique

« …tout est matière à la fête dans ce spectacle passionnant dont le mot d’ordre est métissage. »

La Presse, Montréal

« …tout est matière à la fête dans ce spectacle passionnant dont le mot d’ordre est métissage. »

La Presse, Montréal