Gabi Hartmann, Festival Québec Jazz en Juin

Salle Octave-Crémazie

29 juin 2024
20h00

prix

Taxes et frais de services inclus
Régulier
45,00 $
Étudiant
Sur présentation d'une carte étudiante valide
Sur présentation d'une carte étudiante valide
35,00 $

Description

Il est rarissime qu’un premier album soit catapulté à la première place des ventes jazz. C'est pourtant l’exploit qu’à réussit Gabi Hartmann avec son album éponyme en 2023, détrônant ainsi Ibrahim Maalouf et Nina Simone. La jeune parisienne au parcours atypique s’est fait connaître et reconnaître à une vitesse impressionnante grâce à la qualité de ses concerts, la douceur de sa voix et la force de ses chansons aux allures de classiques.

Traduisant son amour des grands standards jazz, sa fascination pour les musiques des Tropiques et son instinct poétique contemporain, la musique de Gabi Hartmann nous transporte dans un éventail de lieux : un bar jazz en sous-sol, une plage tropicale au crépuscule, une terrasse dans une pente de Lisbonne ou au fond d’une brasserie parisienne une nuit d’hiver. On ferme les yeux et on aperçoit l’ombre d’une légende du jazz, d’une diva de la bossa nova, d’une grande dame en noir de la chanson française ou portugaise, quelque part au carrefour du chic exquis et de la mélancolie vertigineuse et de la douceur consolante.

  • Une présentation du Grand Théâtre de Québec en collaboration avec le Festival Québec Jazz en Juin
  • Jazz
Distribution
Gabi Hartmann
Voix

« La douceur de sa voix, la force tranquille de ses chansons qui font rêver en trois langues, dont le portugais, la mélancolie vertigineuse qui l’habite, le souci des arrangements soignés, Gabi Hartmann a tout saisi et tout assimilé de cette bienfaisante proposition sans jamais racoler. »

La Presse

« La douceur de sa voix, la force tranquille de ses chansons qui font rêver en trois langues, dont le portugais, la mélancolie vertigineuse qui l’habite, le souci des arrangements soignés, Gabi Hartmann a tout saisi et tout assimilé de cette bienfaisante proposition sans jamais racoler. »

La Presse