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Vivez l’expérience Histoires sans paroles – Harmonium symphonique en format acoustique, dans un concert qui laisse toute la place aux magnifiques arrangements. La musique dans sa plus pure expression, un orchestre de renommée au sommet de sa forme, un chœur envoûtant, une soirée à marquer d’une pierre blanche. La mise en place du concert est signée Marcella Grimaux (Noisy Head Studio), sous la direction artistique de Nicolas Lemieux.
S’inspirant de l’album Histoires sans paroles – Harmonium symphonique, arrangé par Simon Leclerc, l’interprétation de ce concert est confiée à l’Orchestre symphonique de Québec, au guitariste Sylvain Quesnel et au Chœur Les Rhapsodes, dirigés par la cheffe Dina Gilbert. Les chanteuses Kim Richardson et Luce Dufault viennent chacune prêter leur voix sur une chanson.
- Acoustique
- Classique
- Québecois
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Harmonium symphonique
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Photo : Caroline Bergeron
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- Musique de Serge Fiori et Blair Thomson
- Projection de 85 œuvres de Jean Paul Riopelle
- 70 musiciens et 68 choristes sur scène
Jean Paul Riopelle en musique
Dans le cadre des célébrations entourant le centenaire de Jean Paul Riopelle, l’expérience Riopelle symphonique conjugue la sensibilité musicale de Serge Fiori et la fougue du compositeur et arrangeur Blair Thomson. Avec la participation de l’Orchestre symphonique de Québec, sous la direction d’Adam Johnson, et en compagnie des Petits Chanteurs de Laval, ce spectacle à grand déploiement utilise comme matériau de base sept chansons tirées de l’œuvre de Serge Fiori qui ne font pas partie du répertoire d’Harmonium.
Conjuguant des projections et une scénographie audacieuse, ce concert multimédia en cinq actes évoque les grandes périodes de la vie de Riopelle et de sa fructueuse carrière - des premières années montréalaises axées sur l’expérimentation au dernier chapitre de sa carrière, marqué par un retour aux sources à l’Isle-aux-Grues, en passant par l’après-guerre en France, la rencontre avec les autochtones et le contact avec le Grand Nord. Symbole de liberté et infatigable oiseau migrateur, l’emblématique oie sauvage guidera le public à travers les lieux réels et imaginaires fréquentés par l’artiste dans ses œuvres.
Une mise en scène époustouflante
La conception visuelle et la mise en scène de Marcella Grimaux (Noisy Head), sous la direction artistique de Nicolas Lemieux, allie avec brio musique et art visuel. Le concert permet en effet de revisiter plus de 85 œuvres de Jean Paul Riopelle, projetées sur différents écrans dont l'agencement et le contenu varient au rythme de la musique et du parcours du peintre. Ajoutant relief et contexte à ce voyage biographique, des extraits d'entrevue avec l'artiste ponctuent les différentes transitions.
Quant aux choristes et à certains musiciens de l'Orchestre, ils seront habillés de costumes spécialement conçus par la designer québécoise Marie Saint-Pierre, qui connaissait personnellement Jean Paul Riopelle.
Pour en découvrir plus sur ce spectacle multimédia époustouflant, consultez cette critique détaillée de Radio Canada sur la première de Riopelle symphonique.
- Classique
- Audiovisuel
- Serge Fiori
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Riopelle symphonique




Photo : Victor Diaz Lamich
Photo : Victor Diaz Lamich
Photo : Victor Diaz Lamich
Photo : Jean Paul Riopelle, Cap au nord, 1977. Huile sur toile, 200 x 301 cm. Collection - Huguette Vachon © Succession Jean Paul Riopelle / SOCAN (2022)
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Riopelle symphonique




Photo : Victor Diaz Lamich
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Photo : Jean Paul Riopelle, Cap au nord, 1977. Huile sur toile, 200 x 301 cm. Collection - Huguette Vachon © Succession Jean Paul Riopelle / SOCAN (2022)
"La qualité des projections des œuvres de Riopelle, leur choix et les enchaînements dynamiques crée non seulement une narration visuelle épousant le parcours du créateur, mais génère un mouvement et tient l’attention en éveil."
"Lorsque les tempos sont plus rapides, le synchronisme entre la musique et les images de tableaux est saisissant. C’est un peu comme si l’orchestre et les chœurs allaient au rythme des gestes vifs de Riopelle."
"La qualité des projections des œuvres de Riopelle, leur choix et les enchaînements dynamiques crée non seulement une narration visuelle épousant le parcours du créateur, mais génère un mouvement et tient l’attention en éveil."
"Lorsque les tempos sont plus rapides, le synchronisme entre la musique et les images de tableaux est saisissant. C’est un peu comme si l’orchestre et les chœurs allaient au rythme des gestes vifs de Riopelle."
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- Kahchun Wong : chef
- Stéphane Tétreault : violoncelle
Dialogues romantiques
Embarquons pour une grande soirée romantique en compagnie du jeune violoncelliste québécois Stéphane Tétreault, enfin sur scène en présence du public! Sous la baguette du chef singapourien Kahchun Wong, le voyage commence avec Liszt. « Qu’est-ce d’autre que notre vie sinon une série de préludes à cet hymne inconnu ? », écrit le compositeur au sujet de son poème symphonique qui s’inspire de l’ode Les Préludes du poète Lamartine. Sa fresque tour à tour grandiose, poétique et exaltante précède les Variations sur un thème Rococo : Tchaïkovski feint d’y emprunter un thème au siècle de Mozart et le décline dans un dialogue stimulant entre l’orchestre et le violoncelle. Il y a quelques années, Stéphane Tétreault a magnifiquement enregistré ce chef-d’œuvre avec nos musiciens. On s’emporte et l’on jubile à leurs côtés, avant de le suivre en compagnie de Dvořák au cœur d’une forêt bohémienne avec Silent Woods. Cet arrangement d’une pièce pour piano réalisé par le compositeur peu après son arrivée aux États-Unis confie au violoncelle une envoutante cantilène évoquant la contemplation de la nature. Enfin, on revient avec bonheur à Tchaïkovski pour l’ouverture-fantaisie Roméo et Juliette, où le thème de la discorde opposant les Capulet aux Montaigu côtoie les leitmotive de l’amour et de la mort tragique des amants…
Programme
- Liszt : Les Préludes
- Tchaïkovski : Variations sur un thème Rococo
- Dvořák : Silent Woods
- Tchaïkovski : Roméo et Juliette, ouverture-fantaisie
- Violoncelle
- Classique
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Photo : Le violoncelliste Stéphane Tétreault (crédit : Frederik Robitaille)
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Clemens Schuldt entre en scène
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- Clemens Schuldt : chef
- Simon Trpčeski : piano
Assistez au premier concert du nouveau chef
"Pour mon premier concert, je voulais célébrer l’amitié entre le Québec et l’Allemagne avec de grandes pièces de différents siècles. Aussi, je souhaitais jouer avec Simon Trpčeski après l’avoir entendu avec l’Orchestre symphonique de Londres. Mon rêve se réalise."
- Clemens Schuldt
Pour son premier concert de la saison à la tête de l’Orchestre, Clemens Schuldt a choisi des œuvres emblématiques du répertoire romantique. Boston, 1875: Tchaïkovski crée le Concerto n° 1, célèbre par le carillon tonitruant des accords du piano – sous les doigts de l’éblouissant Simon Trpčeski – accompagnant le thème initial, infiniment lyrique, confié à l’orchestre. On est captivé en passant de son romantisme teinté de musique populaire russe à celui de Richard Strauss, tellement ancré dans son imposant héritage allemand. Strauss a 25 ans lorsqu’il compose le poème symphonique Mort et transfiguration, une partition métaphysique décrivant la dernière heure d’un artiste qui voit sa vie entière défiler sous ses yeux. On y perçoit sans surprise l’influence de Wagner.
Dans son ouverture de Rienzi (non jouée en matinée le 21 septembre), son troisième opéra, celui-ci fait vibrer un extraordinaire thème lent précédant une agitation et une explosion finale qui nous font sourire. Le concert du 20 septembre s’ouvrira avec une incursion vers la création contemporaine canadienne : dans À perte de vue, Keiko Devaux cite des fragments de sonates de Beethoven et mêle à son langage personnel des influences de jazz et de la musique pop de son enfance.
Le 21 septembre en matinée, retrouvez l'impétuosité orchestrale wagnérienne dans le Prélude à l’acte III de Lohengrin, colorée par l’air des noces d’Elsa et du chevalier : quelques minutes de musique suffisent à nous plonger au cœur d’une histoire de magie et de passion.
Programme
- Devaux : À perte de vue (le 20 septembre seulement)
- Tchaïkovski : Concerto pour piano n° 1
- Strauss : Mort et transfiguration
- Wagner : Ouverture Rienzi (le 20 septembre seulement)
- Wagner : Lohengrin, Prélude de l’acte 3 (le 21 septembre seulement)
Arrivez d'avance pour le prélude ou la causerie
Le 20 septembre dès 19 h, assistez au prélude en compagnie de Clemens Schuldt, Irene Brisson ou Benjamin René. Cette rencontre vous permettra d’approfondir la démarche de création et de poser un regard éclairé sur le contexte historique dans lequel les œuvres ont été composées. Le prélude sera suivi d'un pré-concert où vous entendrez des musiciens de la relève du Conservatoire de musique de Québec ou de la Faculté de musique de l’Université Laval.
Le 21 septembre dès 9 h, café et viennoiseries vous sont offerts par Chartwell - Résidences pour retraités. À 9 h 30, faites la rencontre d’un musicien de l’Orchestre lors d’une causerie conviviale où il présentera les moments marquants de son parcours et les secrets de son instrument.
- Nouveau chef
- Allemagne
- Piano
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Photo : Le chef Clemens Schuldt (crédit : Stéphane Bourgeois)
Photo : Le pianiste Simon Trpčeski
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Photo : Le pianiste Simon Trpčeski