Chanson francophone

Jeannot Bournival

Western Paillettes

STUDIOTELUS

Jeannot Bournival - Crédit : Christine Berthiaume

STUDIOTELUS

16 avril 2025
20h00

prix

Taxes et frais de services inclus
Régulier
25,00 $

Description

Suivant la sortie de son album Confiture Printemps Comète Moustache Molle, Jeannot Bournival propose le spectacle Western Paillettes. Artiste multidisciplinaire expérimenté, il présente une œuvre autant novatrice que traditionnelle qui exploite l'ensemble de ses talents de musicien, compositeur, directeur musical, concepteur audiovisuel et poète.

Le spectacle promet une incursion dans un univers où les formes artistiques traditionnelles sont éclatées. On y explore les contrastes en intégrant différentes essences telles que le folk, le jazz, la poésie, la chanson et le groove.

Au-delà de son désir de transcender ses frontières créatives conventionnelles, les choix artistiques de Jeannot Bournival sont motivés par son désir d'offrir une expérience artistique unique et accessible au public. Sa capacité à se lier aux spectateurs et son inspiration découlent de sa riche expérience de plus de 20 ans aux côtés d'artistes éminents tels que Fred Pellerin, Tire le Coyote, Isabelle Boulay ou Bryan Perro.

Accompagné par Camille Paquette-Roy (harmonies vocales, violoncelle et clavier), Vincent Carré (batterie et percussions) et Colin Levac (guitares, banjo et accessoire), Jeannot Bournival se promène entre le slam, la poésie et le chant. Ensemble, ces trois musiciens chevronnés recréent de façon originale et caractérielle le répertoire de Jeannot Bournival.

  • Une présentation du Grand Théâtre de Québec et des Productions Coin D’Table
  • Chanson francophone
  • Poésie
  • STUDIOTELUS

« Qu’il chante ou qu’il récite, Jeannot Bournival a toujours cette voix grave un peu écorchée, qui le place quelque part entre Plume et Fred Fortin. »

Josée Lapointe, La Presse

« Qu’il chante ou qu’il récite, Jeannot Bournival a toujours cette voix grave un peu écorchée, qui le place quelque part entre Plume et Fred Fortin. »

Josée Lapointe, La Presse